CONSIDEREZ ATTENTIVEMENT VOS VOIES! (Hb.12:1-3) (N/P)
(Prêché à Glain dimanche le 4 janvier 2009)
(Retranscrit dans un style parlé)

Nous venons d'entrer dans l'année 2009 et je crois que nous sommes également entrés dans une période où le Seigneur demande à son peuple de s'arrêter et de considérer quelque chose de très important. Ce sera probablement une courte période, mais ce sera une période qui devrait nous amener à réfléchir sérieusement jusqu'où nous sommes prêts à aller pour suivre pleinement le chemin que Dieu a tracé devant nous.

Nous vivons une époque où une grande partie de l'église de Jésus-Christ est entravée voire paralysée par les limites que la société a mise autour d'elle pour qu'elle soit efficace. Nous avons permis qu'une poignée de gens décide pour nous à quel moment nous pouvons prier ou ne pas prier publiquement et ce que nous pouvons ou ne pouvons pas faire au nom de Jésus-Christ.

Nous avons fait des compromis dans notre foi, afin de pouvoir montrer au monde que nous sommes des gens tolérants envers ceux qui ne pensent pas comme nous, et aussi parce que nous savions que le monde ne causerait aucun problème à l'église, tant et aussi longtemps qu'elle ne viendrait pas remettre en question à travers la prédication de l'Evangile, la conduite immorale dans laquelle notre société se trouve et continue à s'engouffrer, au point où nous n'avons plus rien à envier à Sodome et Gomorrhe.

La Parole de Dieu nous parle d'une église à Ephèse qui était connue "pour ses oeuvres, son travail et sa persévérance." Cependant, Jésus va dire d'elle, "néanmoins, j'ai quelque chose contre toi, c'est que tu as abandonné ton premier amour" (Apo.2:4). Non seulement l'église avait perdu la chose même qui la rendait attrayante et intéressante, mais elle avait perdu de vue l'oeuvre pour laquelle elle avait été placée sur la terre. Ceux qui se vivaient dans le monde, jetaient un regard vers ceux qui vivaient à l'intérieur de l'église et ils les voyaient en trai nde vivre une simple relation de politesse et de tolérance les uns envers les autres, semblable à un couple marié qui a perdu le feu et l'amour qu'il avait à ses débuts.

Vous rappelez-vous la première fois que vous êtes tombé en amour? Vous rappelez-vous les premiers temps de votre mariage? Votre coeur débordait de joie et d'amour, vous n'aviez pas honte d'être vu publiquement avec votre époux ou vtre épouse. Vous marchiez sur la rue, la main dans la main, tout heureux de montrer aux gens que celui ou celle qui vous tenait la main, était la personne à qui vous aviez décidé d'unir votre vie.

Malheureusement, lorsque nous prenons le temps aujourd'hui d'observer ceux qui prétendent être un témoignage de Christ et qui ne peuvent venir en aide aux gens, on ne peut s'empêcher de se demander, "mais où est donc passé ce feu qui les animait à leur début?" Les années ont passé et ils ressemblent à un couple marié qui demeure ensemble par habitude ou à cause des enfants, complètement inconscient que leur relation est devenue peu attrayante et routinière. Il n'est donc pas étonnant de constater qu'il puissent avoir autant de gens qui en sont arrivés à la conclusion que si c'est à cela que ressemble une relation avec Dieu, qu'ils disent, "moi je n'en veux pas! Si c'est cette passion qu'elle produit, si c'est l'esprit qui en ressort au fil des années, je préfère trouver quelque chose d'autre."

UN APPEL A LA REPENTANCE
Bien que nous nous soyons éloignés dans une large mesure de la simplicité de Christ et que nous ayons adopté des points de vue théologique différents pour justifier la condition rétrograde de l'église, je rends grâce à Dieu que cela ne s'arrête pas là. La Bible nous enseigne que Dieu nous accorde un temps pour examiner nos voies. Le prophète Aggée a parlé au peuple de Dieu qui était appelé à reconstruire le témoignage de Christ à son époque.

"Est-ce normal que vous habitiez des maisons richement décorées alors que mon temple est en ruine? Je vous le demande, moi, le Seigneur de l'univers. Considérez attentivement vos voies! Vous semez beaucoup, et vous récoltez peu, vous mangez, et vous n'êtes pas rassasiés, vous buvez et vous n'êtes pas désaltérés, vous êtes vêtus, et vous n'avez pas chaud; le salaire du travailleur s'épuise aussi vite qu'un sac percé. Je vous le répète moi le Seigneur de l'univers: Considérez attentivement vos voies! Montez sur la montagne, pour y chercher du bois, et rebâtissez mon temple. Alors je serai heureux d'y recevoir l'honneur qui m'est dû, dit l'Eternel. Vous aviez espéré de grosses récoltes et voyez le peu que vous avez obtenu et le peu que vous avez ramené chez vous, je l'ai dispersé de mon souffle. Pourquoi? dit l'Eternel des armées. Et bien, c'est parce que mon temple est en ruine alors que chacun de vous s'occupe activement de sa maison. Voilà pourquoi aucune pluie n'est tombée et que rien n'a pu pousser" (Ag.1:4-10).

"Considérez vos voies!" Aggée était en train de dire au peuple, "vous avez développé une forme de religiosité. Vous élaborez des stratégies pour remplir la maison de Dieu et pour ainsi masquer la faillite spirituelle qui a envahie vos vies. Et maintenant, vous découvrez soudainement que le ciel vous est fermé. Vous vous étiez vantés qu'une grande moisson était sur le point d'être récoltée, mais où est-elle? Vous vous êtes rassemblés de façon sporadique, apparemment sans aucune substance et le Seigneur a tout fait disparaître."

Aujourd'hui, l'église a fait de la conversion quelque chose de facile. Il n'est plus nécessaire de se repentir, il n'y a plus d'obligation de se détourner de son péché et il n'y a plus de mise en garde qui est donnée à consacrer pleinement sa vie à l'oeuvre et à la cause de Jésus-Christ. Au lieu de cela, nous demandons aux gens de répéter une toute petite prière, et nous leur disons qu'ils verront leurs péchés être pardonnés et qu'ils seront désormais sur le chemin qui conduit au ciel.

Nous avons ouvert les portes beaucoup plus grandes que les Ecritures elles-mêmes peuvent les avoir ouvertes. Nous étions supposé ramasser une grande moisson, mais nous découvrons maintenant que cette moisson n'a aucune force pour tenir contre tout les déchets que cette société déverse pour empêcher cette moisson d'être abondante. Beaucoup déclarent être chrétiens mais où sont les soldats? Où sont les hommes et les femmes de convictions? Où sont ceux qui sont prêts à affronter la tempête?

"J'ai appelé la sécheresse sur le pays, sur les montagnes, sur le blé, sur le moût, sur l'huile, sur ce que la terre peut rapporter, sur les hommes et sur les bêtes, et sur tout le travail des mains" (Ag.1:11). Le Seigneur a appelé la sécheresse, et c'est exactement ce que retrouvons aujourd'hui. Le Seigneur a appelé une sécheresse spirituelle en Europe afin d'attirer aussi bien l'attention de son peuple, que d'attirer l'attention d'une société qui vit dans la luxure et dans la débauche.

Rappelez-vous la compassion que Dieu a manifestée lorsque nous étions dans la tempête. Oui, c'était un jugement, mais la compassion précède et triomphe du jugement. Nous avons besoin que Dieu nous amène à un point dans notre vie qui nous permettra de réaliser notre véritable condition. Ne serait-il pas tragique de vivre comme si tout allait bien, pour découvrir plus tard que nous sommes passés totalement à côté du but, et être arrêtés juste à la porte d'entrée qui conduit à la vie éternelle, parce que nous avons choisi de vivre une religion chrétienne qui n'a rien à voir avec ce que Dieu désire!

II- UN AUTEL A L'EXTERIEUR DE LA PORTE
L'auteur de l'épître aux Hébreux nous dit que "nous avons un autel dont ceux qui font le service au tabernacle n'ont pas le droit de manger" (Hb.13:10). Nous avons un autel, et pourtant, il y a ceux dont toute leur relation avec Dieu s'appuie sur les ordonnances, la loi et sur ce qu'ils doivent faire ou ne pas faire. Ils ont perdu leur passion et ils se sont installés dans un Christianisme médiocre, se contentant de prendre juste le temps de lire leur Bible à chaque jour pendant dix minutes, et professer être chrétien en se rendant à l'église le dimanche.. Ils n'ont pas le courage de montrer publiquement qu'ils aiment Dieu ou qu'ils ont à coeur de faire l'oeuvre à laquelle ils sont appelés. Il y a aussi un autel pour cela, un autel sans aucune puissance où il n'y a aucune capacité durable, aucune force pour soutenir, aucune révélation. A cet autel, il n'y a que des idées qui proviennent de l'esprit naturel de l'homme.

D'un autre côté, il existe un autel qui est beaucoup plus profond et plus satisfaisant, mais qui exige un refus de s'installer dans des rituels et des oeuvres qui n'ont aucune valeur. Voilà pourquoi Paul a dit à Timothée, "ranime la flamme du don de Dieu que tu as reçu" (2Tim.1:6). Lorsque vous êtes venu à Christ la première fois, la main de Dieu est venu sur vous, et vous avez été appelés à accomplir quelque chose pour l'avancement du Royaume de Dieu. Le Seigneur vous a donné une responsabilité, et il vous a doté de dons pour glorifier son nom.

Ne laissez donc pas les choses descendre en vrille au point de simplement venir à l'église par obligation. N'acceptez pas de vivre une relation sans passion avec Dieu qui ne porte aucun fruit sur la terre. Si vous permettez que cela arrive, vous pouvez être certain que personne ne désirera ce que vous avez. Les gens regarderont votre relation avec Dieu et ils diront en conclusion, "je suis déjà assez désespéré comme ça, je n'ai pas besoin de rajouter une religion à ma misère."

C'est pour cela que "Jésus aussi, afin de sanctifier le peuple par son propre sang, a souffert hors de la porte" (Hb.13:12). Il a souffert à l'extérieur de la porte, parce qu'il désirait nous sauver et nous rendre capable de marcher à nouveau avec un Dieu Saint. Jésus s'est rendu à l'extérieur de la porte, c'est-à-dire en dehors des limites et en dehors des frontières de la religion qui a essayé de l'enfermer. Il aurait pu s'élever pour devenir un des personnages les plus importants et les plus influents dans ce monde, mais il a refusé de jouer le jeu. Ils l'ont donc traîné à l'extérieur de la porte, à l'extérieur de la ville.

"Sortons donc pour aller à lui, hors du camp, en portant son opprobre. Car nous n'avons point ici-bas de cité permanente, mais nous cherchons celle qui est à venir. Par lui, offrons sans cesse à Dieu un sacrifice de louange, c'est-à-dire le fruit de nos lèvres qui confessent son nom" (Hb.13:13-15). Vous et moi, nous sommes appelé à sortir du camp" là où se trouve Jésus. En d'autres mots, nous avons le privilège en tant qu'église de sortir de notre captivité culturelle et spirituelle, pour nous rendre à un nouvel endroit où nos bouches sont constamment ouvertes pour louer et remercier le Seigneur. Nous pouvons sortir et nous approcher de l'autel, là où le feu se trouve réellement, le feu de Dieu, là où sa gloire abonde, là où le peuple reçoit des dons, des capacités, qui ne peuvent venir que du coeur de Dieu.

Mais aller à cet autel exige un esprit d'humilité, un coeur repentant, et admettre que notre religion nous empêche d'avoir cette relation tant désirée par Dieu. Notez que les Ecritures parle de "subir son reproche." Ce qui signifie que cela exige la mort à soi-même et une volonté de sortir à l'extérieur de la porte, car c'est là que se trouve l'autel. Sur cet autel, nous sommes prêts à endurer le mépris d'un monde déchu et nous sommes prêts à ne pas laisser les murmures de ceux qui travaillent avec nous, nous empêcher d'incliner la tête. Non, nous avons un autel, et cet autel est appelé à être consacré pour la gloire de Dieu et pour le salut de l'humanité.

L'auteurde l'épître aux Hébreuxle dit de cette façon: "Nous donc aussi, puisque nous sommes environnés d'une si grande nuée de témoins..." L'auteur fait référence ici aux saints dont il a mentionné les noms dans le chapitre précédent, ceux qui ont subi des menaces, qui sont passés par le feu, ceux qui ont été sauvés du déluge, ceux qui ont été traînés devant les tribunaux à cause de leur foi, et pourtant, il n'y a aucune de ces choses qui n'ont pu réussir à les arrêter. La même chose se vérifie pour quiconque a placé sa confiance en Christ aujourd'hui. Il n'y a rien qui peut arrêter le plan que Dieu a décrété pour ceux qui choisissent d'oeuvre pour Sa gloire.

"Rejetons tout fardeau, et le péché qui nous enveloppe si facilement, et courons avec persévérance dans la carrière qui nous est ouverte" (Hb.12:1). Il n'y a aucun fardeau qui peut nous écraser, il n'y a aucun péché qui peut nous paralyser. Jésus est venu pour donner la vue aux aveugles, pour ouvrir les portes de ceux dont les coeurs sont liées et enchaînés, pour guérir ceux dont les coeurs ont été blessés. Cela signifie que nous sommes libre de nous lever et de sortir de tout lieu de captivité, et il n'y a aucune opposition ni ou restriction qui peuvent nous arrêter dans cette course. Il y a deux choses qui peuvent nous arrêter: 1) Si nous décidons de vivre à l'intérieur des limites qu'une société déchue a placé autour de nous,
2) Si nous nous laissons intimider par les gens, lorsqu'ils nous regardent comme étant étroit d'esprit, mal éclairés, faibles ou insensés.

"Ayant les regards sur Jésus, qui suscite la foi et la mène à la perfection, en échange de la joie qui lui était réservée..." (Hb.12:2). Voilà où se trouve la source de notre force, en gardant les regards sur Jésus et en demandant à Dieu de nous permettre de voir devant nous, ce que Jésus voyait. Il se réjouissait de nous voir libérés du péché, du monde et de Satan. Il se réjouissait de nous voir vivre à nouveau une relation avec Lui. Voilà ce qu'il voyait et si nous voyons la même chose que Lui, cela fera ussi toute la différence dans nos vies. Frères et soeurs, qu'est-ce que nous avons mis, qu'est-ce que nous avons semé devant nous dans notre génération? Si c'est de l'or, des voitures, des emplois, une position et la puissance, il ne faut donc pas nous étonner qu'il n'y a pas beaucoup de joie parmi ceux qui affirment être chrétiens. Nous avons fixé nos yeux sur les mauvaises choses, alors que nous devrions garder nos yeux fixés sur les personnes. "Nous nous sommes attachés aux choses qui sont sur la terre plutôt qu'aux choses d'en haut, là où Christ est assis à la droite de Dieu" (Col.3:2-3).

Jésus n'a pas laissé tomber ou capituler face au mépris dont il a été l'objet ou face aux accusations qui ont été portées contre lui, parce qu'il nous a vu vous et moi, gouvernant et régnant avec lui pour l'éternité. Nous ne tremblerons plus et nous ne garderons plus le silence si nous commençons à voir les hommes et les femmes qui sont autour de nous de la même manière que Jésus les voit. "Il a souffert la croix, méprisé l'ignominie, et il s'est assis à la droite du trône de Dieu" (Hb.12:2). Jésus a remporté une victoire. C'est l'autel que nous avons, si nous sommes prêts à nous joindre à Lui à l'extérieur de la ville, si nous sommes prêts à échapper aux limites qui nous sont imposées pas cette société et si nous sommes prêts à être jetés dehors par ceux qui combattent contre leur propre salut.

"Considérez, en effet, celui qui a supporté contre sa personne une telle opposition de la part des pécheurs, afin que vous ne vous lassiez point, l'âme découragée" (Hb.12:3). "Considérez-le!" Considérez ce qu'il a supporté, et considérez ce que vous êtes prêts à supporter. Considérez jusqu'à quelle profondeur et jusqu'où vous êtes prêts à aller dans votre marche avec Dieu. Allez-vous vous installer confortablement et devenir une voix qui n'a aucune puissance comme Lot le fit à son époque? Un homme qui avait accepté que des choses du monde entre dans sa vie, et qui même après qu'il eut rencontré les anges, a eu énormément de difficulté à convaincre sa propre famille de le suivre afin d'échapper au jugement.

Ou alors, allez-vous agir comme Noé qui construisit une arche, acceptant d'être ridiculisé par les gens qui passaient chaque jour devant lui et qui disaient, "Noé, tu as complètement perdu la tête en vieillissant, il n'y a pas eu de pluie ici depuis des siècles et tu es en train de construire un bateau!" Pourtant il est écrit que Noé fut un prédicateur de justice, et qu'il a amené toute sa famille à se réfugier en sécurité dans l'arche (2 Pi.2:5).

III- ARRETEZ ET EXAMINEZ
Est-ce que vous voyez l'urgence de la situation? Est-ce que vous réalisez que nous sommes sur le point d'entrer dans une tempête qui aura des proportions sans précédent? Tout comme à l'époque de Noé, certaines personnes peuvent se moquer de ce message et le rejeter. Cependant, je vous exhorte à prendre de l'huile pour vous fortifier et à faire un choix maintenant. Comme Josué l'a dit à son époque: "choisissez aujourd'hui qui vous voulez servir... Lui, il a dit: "Mais moi et ma maison, nous servirons l'Eternel" (Jos.24:15).

Le prophète Esaïe a dit que dans les derniers jours, au milieu des ténèbres, il y aura un peuple qui chantera un cantique de louange au Seigneur (voir Esaïe 30:29). Bien sûr que cela n'a pas commencé seulement maintenant, mais plutôt à chaque fois que nous faisons le choix de considérer Jésus et que nous comprenons que la victoire qu'il a déjà remportée peut être aussi nôtre. Lorsque nous faisons le choix de nous rendre à cet autel, où ceux qui s'amuse avec Dieu ne peuvent pas aller.

Je vous encourage à faire en sorte que l'année 2009 soit une année où vous allez considérer Jésus. Une année où vous allez décider si vous le suivez en toutes choses. Cela signifie prendre la décision de ne pas faire les choses à moitié, de ne pas succomber à la tentation de tout lâcher, de ne pas courir la course en trichant, de ne pas céder devant les limites mises en place par la société et de ne pas servir le Seigneur à contrecoeur dans le ministère. Si vous êtes déterminés à ne pas vouloir vous contenter de rien de moins que de recevoir pleinement ce qu'il a en réserve pour vous, vous découvrirez que le Seigneur vous donnera la force de caractère pour être le sel et la lumière dans votre ville.

Il vous donnera de la compassion pour tous les gens, et ce, sans regarder à quelle classe ils appartiennent, même pour ceux qui s'opposent à vous. Vous serez amenés à voir les choses comme Christ les voyait, et vous verrez que ce sera une année où Dieu aura su vous étonner. Si vous persévérez dans cette voie, il vous fait cette promesse "A celui qui vaincra, je donnerai à manger de l'arbre de vie, qui est dans le paradis de Dieu" (Apo.2:7).

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